

Un portrait de marque permet de raconter tout cela, en insistant sur le plus singulier et important : Est-ce l’histoire humaine ? L’ADN ? L’originalité de votre offre ?
Vous publierez ce texte sous l’onglet « Histoire », « Philosophie » ou « Raison d’être » de votre site, ou encore sur la plaquette de votre entreprise. Ci-dessous, quelques exemples de portraits de marques.
BELLE PIÈCE
MARQUE DE MODE CONTEMPORAINE
(2019 – 300 mots)
Une robe. Ou plutôt des robes. En popeline ou en soie, en lin ou en viscose, longues et courtes, épaules ballons et broderies anglaises ou belle ampleur et bordée d’imprimés… Des robes exclusivement pour cette toute nouvelle marque qui arrive ce printemps sur les portants des boutiques trendy, de Paris à Saint-Tropez en passant par Biarritz. Car Belle Pièce, c’est avant tout cela : un parti pris évident, celui d’un label « mono-produit », et l’idée centrale que l’essence même du vestiaire féminin est contenue dans ce vêtement si simple et pourtant si peu développé dans les propositions de mode.
Belle Pièce, c’est aussi deux filles d’aujourd’hui, deux pros de la mode au regard affuté qui conjuguent leurs talents complémentaires, et qui ont choisi l’anonymat : « Nul besoin d’être trop bavardes, notre marque parle pour nous » s’amusent-elles.
Binôme artiste et pragmatique, l’une à la table à dessin, l’autre à l’organisation, elles débattent de tout mais s’accordent sur l’essentiel : une vision. Celle d’une femme d’aujourd’hui, ni tout à fait sophistiquée, ni tout à fait casual : « Elle est changeante et multiple, ultra féminine et androgyne, hyper active et paresseuse, minimaliste ou bohème, rock ou romantique. Mais surtout, elle sait ce qui lui va, et ne se laisse pas enfermer dans un carcan de style » disent-elles d’une même voix.
C’est leur manière à elles d’affranchir les femmes : leur offrir des robes comme un manifeste aussi bien féminin que féministe, un vêtement qui les sublime et les libère tout à la fois.
Sur les portants de l’été 2020, on trouvera des modèles à l’esprit urbain contemporain, baptisés de prénoms masculins aux accents vintage : Billie, Gustave, George… Vingt robes en tout, trente pour la saison automne-hiver auxquelles viendront s’ajouter une jupe, comme un clin d’oeil, et trois manteaux, pas un de plus, pour réchauffer l’allure de ces femmes en mouvement perpétuel.
CAP DIRIGEANT
CABINET DE COACHING ET D’OUTPLACEMENT DE DIRIGEANTS
(2021 – 230 mots)
DEMAIN S’ÉCRIT AUJOURD’HUI
Parce que le monde change, et que demain se construit aujourd’hui, retrouvez une longueur d’avance avec Cap Dirigeant.
OUVRIR GRAND VOTRE REGARD DE DIRIGEANT
A l’image d’un monde qui se transforme, l’entreprise pose de nouveaux enjeux d’envergure : gestion des ressources naturelles, partage de la valeur, transformation digitale, exigence clients, engagement des collaborateurs, internationalisation… Nous avons fondé Cap Dirigeant pour vous offrir la possibilité de mieux appréhender ces mouvements de fond mais aussi d’y contribuer pleinement.
DEVENIR UN DIRIGEANT CONNECTÉ, ENGAGÉ, RESPECTÉ
S’engager dans l’aventure de l’entreprise en devenir, c’est accepter de faire évoluer son style de leadership, développer de nouvelles compétences, faire rayonner sa vision en s’appuyant sur ses ressources profondes. C’est aussi vouloir donner du sens à ses actions, agir sans réserve et impliquer ses équipes pour construire le futur ensemble. En un mot, être acteur à part entière et non plus juste spectateur du monde en marche.
ASSEOIR SA GOUVERNANCE SUR LE LONG COURS
Pour tenir par vents forts dans ces nouveaux ensembles complexes, votre ancrage doit être solide. Il s’agit d’avoir le recul nécessaire pour prendre chaque jour les bonnes décisions, de savoir anticiper, de développer souplesse de management et agilité intellectuelle, de créer les conditions optimales, pour soi-même mais aussi pour ses collaborateurs, afin de saisir les meilleures opportunités. Autrement dit, d’adopter une posture qui conduit au succès.
Lire ce texte sur le site de CAP DIRIGEANT
KASTINE
LABEL DE CHAUSSURES CONFORT
(2021 – 1100 mots)
C’est une histoire comme on les aime. Celle d’une petite entreprise née sur la côte d’Emeraude, portée par un tandem aux convictions tenaces, et tissée de belles rencontres tout au long du chemin. Comme dans toute start up prometteuse, il suffit bien souvent d’une idée qui fait mouche. Celle de Kastine est simple et sans détour : pas moins de 7 millions de semelles orthopédiques sont prescrites en France, mais comment fait-on pour les coucher dans ses sandales d’été ?
« Cette question, je l’ai entendue 1000 fois », raconte Elisabeth Trotel, vraie pasionaria de la podologie depuis 20 ans, connue de tous les Bretons aux pieds délicats (5500 personnes dans sa patientèle !) pour son approche holistique et ses solutions toujours ingénieuses.
« Nous savions qu’il y avait un vrai manque à combler, que ce serait long, compliqué techniquement, mais qu’il y avait là matière à inventer quelque chose d’indispensable et qui n’existait nulle part » se souvient Eric Trotel, ancien patron d’un cabinet d’assurances à Matignon, devenu lui aussi fervent adepte de la podologie. Le bolide Trotel est lancé avec cette ambition limpide comme de l’eau de roche : inventer des chaussures d’été, sandales, tongs et autres claquettes, aussi jolies que confortables, conçues pour accueillir nos semelles personnelles, et combler au passage un vide abyssal dans nos dressings. Autrement dit, laisser enfin respirer à l’air libre nos petons ultra sensibles dans des chaussures ouvertes qui ne ressemblent pas à celles de mamie Jeanne.
UNE AVENTURE FAMILIALE
Ni une ni deux, Eric Trotel crée Kastine, clin d’oeil à Saint-Cast, joli port breton qui l’a vu grandir. Avec un K en référence à Kinesis pour « mouvement » en grec ancien, comme l’auront compris tous ceux qui ont fait leurs humanités… ou étudié la podologie. Il prend les manettes de la nouvelle entreprise, tandis qu’Elisabeth en sera l’oeil expert, la conseillère avisée mais surtout, par son parcours personnel, la véritable inspiratrice.
Car c’est dans son histoire passée, intime et douloureuse, que Kastine prend vraiment sa source : « Je savais à peine marcher quand mon pied a été écrasé par la roue d’un tracteur. J’avais un an et demi et depuis ce jour, j’ai passé ma vie dans les blocs de chirurgie orthopédique, à tenter de réparer ce qui m’avait été enlevé si brutalement. » Un chemin de croix qui deviendra son aiguillon, et qui déterminera sa vocation professionnelle : « En devenant podologue, j’avais enfin le sentiment d’être là où je devais être, de faire ce que je devais faire » dit-elle simplement.
BACK TO BASICS : TOUT PART TOUJOURS DE NOS PIEDS
Pour mesurer pleinement l’innovation Kastine, quelques notions d’anatomie s’imposent. « Nos pieds sont les grands oubliés du corps humain, alors qu’ils sont notre base corporelle ! rappelle Elisabeth. Le pied porte la jambe, qui porte la cuisse, qui porte le bassin… Et si le bassin n’est pas d’aplomb, parce qu’un pied se couche vers l’intérieur – 99% des pathologies constatées dans mon cabinet -, et que le genou n’est plus dans le bon axe, alors les réactions se produisent en cascade. On ne construit pas sa maison sur du sable, ou elle ne tiendra pas très longtemps. » CQFD.
Aussi vrai que nos pieds sont notre socle et notre ancrage, nos chaussures sont le premier maillon de la chaine posturale. D’où l’importance, quand nous sont prescrites des semelles orthopédiques pour corriger et réaligner notre corps en bascule, de les porter constamment. Rien de pire en effet que des semelles portées de manière alternative : « Le message contradictoire envoyé au cerveau est catastrophique » prévient Elisabeth.
Encore faut-il pouvoir les inclure facilement dans sa vie, autrement dit, dans ses chaussures, en toute saison. Toute l’ingéniosité de Kastine est là : nous offrir de jolies sandales qui nous suivront de janvier à décembre, que l’on portera seules (leurs semelles de base sont si bien moulées qu’elles épousent parfaitement nos voutes plantaires, garantissant bien-être et récupération sportive) ou additionnées, si nécessaire, de nos propres semelles orthopédiques.
DU CONCEPT INITIAL AU PRODUIT FINAL
Une vraie prouesse, tant technique que stylistique : « Pour parvenir à ce que nous souhaitions, il nous a fallu deux ans » , raconte Eric Trotel. Deux ans de recherches et de travail acharné avec Patrick Mainguené, à la fois technicien et inventeur, fondateur de la société Insoft. Le résultat ? Pas moins de cinq modèles, et autant de brevets à la clé !
Des semelles amovibles aux renforts latéraux qui maintiennent sans blesser, jusqu’à cet entre-doigt muni d’un bouton pression pour pouvoir changer les brides des tongs à volonté. Un processus long et complexe, et une succession de premières fois car tout est à inventer. Premiers prototypes, dont il faut vérifier les volumes, le confort, la souplesse et l’assise, premières impressions 3D, premiers essayages et premières corrections.
IDÉALES POUR LA RÉCUPÉRATION SPORTIVE
Les ados en croissance et les sportifs plébiscitent leur look facile et sans histoire, comme leurs vertus de drainage et de récupération après l’effort : « Quand le sportif a sollicité son corps de manière intensive, il ne supporte plus les contraintes au repos. Mais s’il enfile des claquettes basiques, il détruit tout. Car il y a sous la voute plantaire tout un réseau vasculaire agissant comme une troisième pompe cardiaque, qui aide le retour veineux. Dans nos claquettes et tongs, il continuera à soutenir et solliciter son corps dans le bon axe, tout en relâchant muscles, tendons et ligaments » explique Eric Trotel. Quand la récupération est bonne, l’efficacité musculaire et les performances s’en trouvent optimisées. Et l’on évite les blessures.
ALLURE ET BONNE POSTURE, LE DUO LE PLUS TENDANCE DE L’ÉTÉ
De leur côté, les femmes de toutes générations aiment leur style impeccable. Ça tombe bien, l’air du temps ne parle que de bien-être, et les stylistes et créateurs de mode les plus pointus nous invitent à la détente, ajoutant le mot « confort » à leur vocabulaire. Le mal de dos étant le mal du siècle, on a compris – il était temps ! – qu’il n’y avait rien de moins moderne que de maltraiter son corps en toute connaissance de cause. Allure et bonne posture sont enfin réconciliées.
On portera les spartiates blanches ou argent avec de longues robes à fleurs un peu bohème, aussi bien qu’en shorts et jeans blancs ; les claquettes s’accorderont à nos pantalons de couleurs vive taillés court et au bas trompette ; les tongs, customisables à l’envi grâce à leur immense palette de brides de couleurs, se combineront aux vernis ultra vitaminés de la saison.
Côté garçons, sandales, claquettes et tongs joueront les caméléons, associées à des bermudas de toile, chinos colorés et autres jeans d’été, s’accordant même, pour un style moins casual, à un pantalon noir, court impérativement.
Style, innovation et bien-être, ou le triptyque gagnant d’une petite entreprise bretonne dont l’épopée ne fait que commencer.
Lire ce portrait sur le site de KASTINE
WEISSE VOYAGES
TRAVEL DESIGNER
(2020 – 500 mots)
AVEC WEISSE VOYAGES, APPAREILLER POUR L’AVENTURE
C’est une agence ancienne – 52 ans d’âge -, discrète, presque secrète, dont quelques happy few se partagent l’adresse. On y vient parce qu’un ami nous a transmis, comme en confidence, le numéro d’Olivier Weisse. Ce globe-trotter magicien, dit-on, sait transformer notre soif de voyage en épopées fantastiques. La première conversation avec lui sera longue. C’est qu’il veut mieux vous connaître, et tout savoir de vos moindres désirs. Vous comprendrez vite que ce n’était pas du temps perdu. Car avec Weisse Voyages, on ne part en vacances, on appareille pour une aventure.
PLACE À L’INATTENDU
On a tous fait ce rêve étrange et pénétrant, celui de partir pour mieux se perdre, de s’échapper du quotidien, des villes et de nos habitudes. Faire ardoise magique de tout ce que l’on croyait connaître, et transformer, une fois n’est pas coutume, le temps court en temps long. Weisse Voyages nous offre cette parenthèse magique : une succession d’instants rares où les heures comptent double. On protègera les nids des tortues quand elles viennent pondre sur la grève, on dansera en plein bush avec les guerriers Maasai, on ira observer les baleines ou replanter du corail, dormir à la cime d’un arbre ou au creux d’un igloo. Une chose est sûre, quand on en reviendra, on ne sera plus tout à fait le même.
LE FUTUR DU VOYAGE
Là où vous irez, Olivier Weisse sera passé, nouant des liens profonds avec ceux qui vous accueillent. Des hôteliers sincères et valeureux, tous impliqués dans la préservation de leurs terres, des hommes et des femmes de bonne volonté qui repeuplent de bisons les plaines du Colorado, protègent les orques ou les requins, jamais avares d’histoires qui parlent de nature et de transmission.
Sélectionnés comme des perles rares aux quatre coins du monde, ces partenaires témoignent à Weisse Voyages une fidélité sans faille. C’est qu’ils se rassemblent autour d’une seule et même idée : l’avenir du voyage est là, dans le respect et la protection de l’environnement et de la vie sauvage, ainsi que des communautés qui y contribuent.
Partir avec Weisse, c’est voyager moins mais mieux. Ici, la qualité ne se mesure pas en nombre de kilomètres parcourus ou en nuits de palace, mais à la trace indélébile que l’expérience aura laissée en vous.
L’ESPRIT DE FAMILLE
De l’aveu d’Olivia, compagne d’Olivier Weisse et baroudeuse devant l’éternel, les plus beaux voyages se font en famille : « On en revient nourris, soudés, différents. » Leurs deux petits garçons auront appris la géographie avant de savoir marcher. Déjà 40 pays traversés, et autant de carnets de route, de quizz, de playlists, d’images et d’histoires en mémoire…
Mais aussi de ces secrets de voyage qui transforment un itinéraire potentiellement périlleux en mélodie du bonheur : comment trouver une poussette à l’autre bout du monde, occuper un enfant pendant 12 heures de vol, rêver ensemble au voyage pendant les 6 mois qui le précèdent. Si vous partez en tribu, suivez leurs conseils les yeux fermés et n’oubliez pas d’emporter le petit livre aux lettres d’or qu’Olivier Weisse vous remettra. Il raconte par le menu l’itinéraire qui vous attend.